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Rifondazione Comunista di Molfetta appoggia la CGIL
28 marzo 2009

MOLFETTA - Riceviamo e pubblichiamo integralmente il testo di un volantino di Rifondazione Comunista, da titolo Loro la crisi, noi la soluzione, in appoggio alla manifestazione C.G.I.L. del prossimo 4 aprile: "La crisi economica che sta producendo effetti devastanti sul reddito di migliaia di lavoratori e pensionati, non viene a caso. E' il frutto di precise politiche finalizzate alla precarizzazione del lavoro e alla compressione dei salari. I lavoratori impoveriti non sono in grado di comprare le merci che producono. Le misure adottate dal governo sono di carattere contingente e del tutto inadeguate anche se paragonate a quelle di altri paesi europei. Il governo Berlusconi lo sappiamo pensa ad altro. Con la complicità di C.I.S.L., U.I.L. e U.G.L. è stata messa a punto una riforma del modello contrattuale che riduce il sindacato ad organo di sottogoverno delle imprese e attua una riduzione scientifica dei salari. Invece per uscire dalla crisi è sono necessarie adeguate misure di sostegno al reddito: Blocco dei licenziamenti e il rinnovo dei contratti di lavoro e dei precar; l'estensione degli ammortizzatori sociali a tutti i lavoratori precari e aumento delle indennità; l'istituzione del salario sociale per i disoccupati. E' necessario un nuovo intervento pubblico dello stato nell'economia. Basta con i soldi regalati alle banche e alle imprese senza che ad essi corrispondano quote di proprietà pubblica. Le risorse date alle banche e alle imprese devono essere vincolate al mantenimento dell'occupazione e alla riconversione ecologica delle produzioni. Al posto delle grandi opere, politiche per risanamento del territorio, per la ristrutturazioni degli edifici scolastici, per sistemi di mobilità sostenibile. Sosteniamo la C.G.I.L.. Tutte/i a Roma il 4 aprile per manifestazione del 4 aprile (per info e adesioni pullman contattare il numero 3476184807) Vi sarà inoltre una Assemblea Cittadina martedì 31 Marzo. Interverranno GIUSEPPE DE LEONARDIS, Segr. Prov .le F.LA.I-C.G.I.L., PORTA GIOVANNI, CONS. COMUNALE P.R.C-S.E., presso la Casa della sinistra in via Paniscotti,17 alle 19,00"
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AL "NIPOTE..." affinché conosca cosa si scrive all'estero di "SUO ZIO..." Siamo pronti alla battaglia, fatti sotto, sprovveduto... FLORE GALAUD - LE FIGARO - fr - del 19.02.2009 - Un dérapage de Berlusconi scandalise l'Argentine - Buenos Aires a convoqué l'ambassadeur italien après un dérapage de Silvio Berlusconi sur les victimes de la dictature argentine. Mini-crise diplomatique entre Rome et Buenos Aires. L'Argentine a fait part de son «malaise» et de son «inquiétude» mercredi après les déclarations du chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi portant sur les «vols de la mort», période noire de la dictature argentine (1976-1983). Afin d'obtenir des explications, le gouvernement a décidé de convoquer à Buenos Aires l'ambassadeur d'Italie. Une réaction qui a aussitôt provoqué «l'indignation» du gouvernement italien. L'affaire, d'abord passée inaperçue, a pris de l'ampleur grâce à la vidéo du «dérapage» diffusée sur Internet. On y voit El Cavaliere, en déplacement en Sardaigne, ironiser sur «ce dictateur argentin qui, pour éliminer ses opposants, les mettait dans un avion avec un ballon, et ouvrait ensuite la porte en disant: 'c'est une belle journée dehors, allez jouer un peu' ». Le président du Conseil italien faisait ainsi référence aux opposants argentins, qui, sous la dictature, étaient jetés vivants dans la mer depuis des avions ou des hélicoptères . Le quotidien argentin Clarin a mis l'affaire en première page, en titrant : «Berlusconi, macabre avec les disparus», en citant le journal italien L'Unita, qui a été le premier à publier les propos de M. Berlusconi. «Ce sont des déclarations horribles. C'est pitoyable ce qu'a dit ce monsieur, qui insulte la mémoire de nos fils», a estimé Taty Almeida,une porte-parole des Mères de la Place de Mai, organisation des mères des disparus. Quelque 4.000 personnes détenues à l'Ecole de mécanique de la marine (ESMA) ont été torturées puis exécutées sommairement, souvent jetées vivantes depuis des avions survolant l'estuaire du Rio de la Plata. La dictature argentine a coûté la vie à 30.000 personnes, selon les organisations de défense des droits de l'homme. Des propos «complètement modifiés» Du côté du gouvernement italien, pourtant, on estime que la polémique n'a pas lieu d'être. La réaction suscitée par les propos du chef du gouvernement en Argentine est «une attaque calomnieuse» contre Silvio Berlusconi, « absolument injustifiée», et «provoque l'indignation» du gouvernement, explique la présidence du Conseil dans un communiqué. Le gouvernement italien estime en effet que les paroles de M. Berlusconi ont été «complètement modifiées, voire retournées, alors qu'il était clair qu'il soulignait la brutalité des 'vols de la mort' de la dictature argentine». Mais El Cavaliere, en matière de dérapage, n'en est pas à son premier coup d'essai. En 2003, par exemple, l'un de ses dérapages au Parlement européen avait provoqué un séisme diplomatique entre l'Allemagne et l'Italie. Alors que Martin Schulz, eurodéputé social-démocrate allemand, critiquait sa présence à une séance, le chef du gouvernement italien lui avait aussitôt rétorqué «En Italie, un producteur prépare un film sur les camps de concentration. Je vous recommande pour un rôle de kapo». Des propos qu'il avait par la suite qualifiés d'«ironiques». Plus récemment, encore, ses déclarations sur Barack Obama, qu'il qualifiait de «jeune, beau et bronzé», avait également défrayé la chronique. www.lefigaro.fr/international/2009/02/19/01003-20090219ARTFIG00474-un-derapage-de-berlusconi-scandalise-l-argentine-


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